En matière de source de trafic sur les moteurs de recherche, l’image n’a pas toujours été le meilleur vecteur.
Toutefois, depuis cette année, il devient un levier d’acquisition incontournable. En effet, l’interface Google Images a fait l’objet de quelques améliorations.
Découvrez les bonnes pratiques pour tirer profit de ces nouveautés.
1) Des données structurées pour lier images et informations
Outre le référencement classique des images, Google Images offre désormais la possibilité de structurer les données pour les images associées à des recettes de cuisine ou des produits.
Ces données structurées permettent :
- de fournir aux internautes des informations qualifiées (marque, description du produit, avis, prix, disponibilité, etc.) ;
- d’associer l’image aux contenus qui l’entourent.
- et, in fine, de booster le taux de conversion.
Les avantages de cette approche résident dans le fait qu’elles :
- réduisent les risques d’erreur pour le moteur de recherche ;
- évitent les associations malencontreuses entre une image et le mauvais produit. Chose fréquente avec le cross selling. En effet, au lieu de présenter le produit qui a attiré l’attention de l’internaute, les robots proposent souvent des produits identiques.
Ainsi, en suivant le lien depuis la SERP, l’internaute ne risque plus de se retrouver sur la mauvaise page ou le mauvais site. Il est sûr de trouver ce qu’il recherche.
Grâce à ces micro-données, un onglet permet de savoir si une image est associée à un produit ou à une recette. L’internaute pourra donc les distinguer dès la page de résultats.
2) La balise <noscript> pour faciliter la lecture de l’image
En ce qui concerne le chargement des images, dont la durée reste problématique pour les webmasters, en particulier sur smartphone, le système de lazyloading en JavaScript a été jusqu’ici une solution privilégiée.
Seul problème : ces images lazyloadées tardent à s’afficher lorsque Google Images crawle une page, et sont souvent mal indexées. Pour permettre à l’algorithme de mieux les détecter sans dégrader la webperf, Google recommande l’utilisation de la balise <noscript>.
Et bien sûr, il ne faut pas oublier de choisir le bon format d’image.
3) Le contenu, un élément important
Autre point essentiel : le contenu autour de l’image.
Google rappelle l’importance du contenu non seulement pour l’optimisation d’un site, mais aussi pour le référencement des images.
En effet, pour positionner une image, l’algorithme de Google Images considère les mots-clés et le contenu associé. De ce fait, pour chaque page, il est crucial de fournir des données précises, avec des mots-clés correspondant parfaitement aux représentations des images.
D’ailleurs, sur la SERP, le title de la page d’origine de chaque image apparaît désormais en gras sous chacune d’elle. Ainsi, dans les résultats de recherche, il est possible que plusieurs images arborent le même title.
Une réponse à “3 bonnes pratiques pour bien référencer des images sur Google Images”
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